Route Nationale 7
Traditional Kustom Hot Rod and Vintage Culture and design :: Architecture: mid century modern, Googie, Art deco :: Architecture 1950 par localisation géographique/ Mid century modern by location
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Route Nationale 7
La route nationale 7, ou RN 7, ou encore N 7, parfois également appelée la « route Bleue » ou encore la « route des vacances » (bien que le trajet diffère entre Roanne et Valence), était la plus longue des routes nationales de France avec 996 km. Avant son déclassement partiel, elle reliait Paris à Menton via l'ouest de la Bourgogne, le nord de l'Auvergne, la vallée du Rhône, le massif de l'Esterel et la Côte d'Azur.
La RN 7 commence à la porte d'Italie à la limite entre Paris et Le Kremlin-Bicêtre puis elle continue plein sud en direction de Villejuif. Elle passe sous les pistes de l'aéroport d'Orly puis longe la Seine jusqu'à Fontainebleau. Elleoblique alors vers le sud à travers la forêt de Fontainebleau, traverse Nemours puis Montargis avant de rejoindre la vallée de la Loire à Briare.
RN 7 au sud de Nevers.
Ancienne plaque indicatrice dans le village de Saint-Pierre-le-Moûtier.
Au sud de Nevers, on abandonne la vallée de la Loire pour celle de l'Allier. La RN 7 est en cours d'aménagement et devrait être progressivement transformée en voie rapide ou en autoroute. Elle passe devant le circuit automobile de Nevers Magny-Cours, contourne Saint-Pierre-le-Moûtier avant de se diriger vers Moulins.
Le secteur marquant la limite entre la Bourgogne et l'Auvergne, à deux voies, est particulièrement dangereux. Avant d'arriver à Moulins, après Villeneuve-sur-Allier sur le territoire de la commune de Trévol, on découvre au bord de la route (à droite en venant de Paris) un monument à la mémoire de quatre aéronautes : le capitaine Marchal, le lieutenant Chauré et les adjudants Vincenot et Réau, qui trouvèrent la mort le 25 septembre 1909 dans l'accident du dirigeable République. Dû aux ciseaux d'Henri Bouchard, ce monument fut inauguré le 29 septembre 1923.
Depuis les années 1990, le chef-lieu de l'Allier n'est plus traversé mais contourné. À la sortie sud de la ville, un échangeur permet d'accéder à la transversale nommée RCEA. C'est également à Moulins que commence la RN 9 (déclassée) en direction de Clermont-Ferrand et de l'Espagne en traversant le Massif central, devenant l'autoroute A75 jusque dans l'Hérault.
La RN 7 commence à la porte d'Italie à la limite entre Paris et Le Kremlin-Bicêtre puis elle continue plein sud en direction de Villejuif. Elle passe sous les pistes de l'aéroport d'Orly puis longe la Seine jusqu'à Fontainebleau. Elleoblique alors vers le sud à travers la forêt de Fontainebleau, traverse Nemours puis Montargis avant de rejoindre la vallée de la Loire à Briare.
RN 7 au sud de Nevers.
Ancienne plaque indicatrice dans le village de Saint-Pierre-le-Moûtier.
Au sud de Nevers, on abandonne la vallée de la Loire pour celle de l'Allier. La RN 7 est en cours d'aménagement et devrait être progressivement transformée en voie rapide ou en autoroute. Elle passe devant le circuit automobile de Nevers Magny-Cours, contourne Saint-Pierre-le-Moûtier avant de se diriger vers Moulins.
Le secteur marquant la limite entre la Bourgogne et l'Auvergne, à deux voies, est particulièrement dangereux. Avant d'arriver à Moulins, après Villeneuve-sur-Allier sur le territoire de la commune de Trévol, on découvre au bord de la route (à droite en venant de Paris) un monument à la mémoire de quatre aéronautes : le capitaine Marchal, le lieutenant Chauré et les adjudants Vincenot et Réau, qui trouvèrent la mort le 25 septembre 1909 dans l'accident du dirigeable République. Dû aux ciseaux d'Henri Bouchard, ce monument fut inauguré le 29 septembre 1923.
Depuis les années 1990, le chef-lieu de l'Allier n'est plus traversé mais contourné. À la sortie sud de la ville, un échangeur permet d'accéder à la transversale nommée RCEA. C'est également à Moulins que commence la RN 9 (déclassée) en direction de Clermont-Ferrand et de l'Espagne en traversant le Massif central, devenant l'autoroute A75 jusque dans l'Hérault.
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Re: Route Nationale 7
À Varennes-sur-Allier, la RN 209 permet d'atteindre la célèbre station thermale de Vichy. Peu après Lapalisse, on traverse les monts de la Madeleine : la route devient plus sinueuse. Sa transformation en voie rapide est achevée jusqu'à la limite avec la Loire.
Le prestigieux restaurant familial Les Frères Troisgros est fondé en 1930 en face de la gare de Roanne sur la nationale 7. L'agglomération de Roanne est désormais contournée par une rocade. À l'Hôpital-sur-Rhins, se trouve la bifurcation RN 7 – RN 82 : cette dernière se dirige vers Saint-Étienne. Elle permet également l'accès à Lyon par l'autoroute A89. Eugénie Brazier et Paul Bocuse y tiennent leur restaurant d'exception « La Mère Brazier » et « Paul Bocuse » à Lyon et à Collonges-au-Mont-d'Or près de Lyon à deux pas de la N7. Il faut alors franchir les monts du Lyonnais par le col du Pin-Bouchain pour atteindre Tarare, l'Arbresle, Lentilly, La Tour-de-Salvagny, où aboutit l'autoroute A89, et enfin Lyon (à Lyon, les RN 6 et RN 7 se retrouvent en se frôlant place Valmy devant la mairie du 9e arrondissement de Lyon. L'ancien tracé (D 407), depuis la place Pierre-Vauboin (ou place de l'Horloge) à Tassin-la-Demi-Lune, suivait, dans Lyon, l'actuelle avenue Barthélemy-Buyer jusqu'au quartier de Saint-Just et descendait sur le quartier de Perrache par la montée de Choulans. Le tracé traverse alors le pont Kitchener pour rejoindre la D307 par Venissieux puis Feyzin avant de poursuivre plus au sud.
Le prestigieux restaurant familial Les Frères Troisgros est fondé en 1930 en face de la gare de Roanne sur la nationale 7. L'agglomération de Roanne est désormais contournée par une rocade. À l'Hôpital-sur-Rhins, se trouve la bifurcation RN 7 – RN 82 : cette dernière se dirige vers Saint-Étienne. Elle permet également l'accès à Lyon par l'autoroute A89. Eugénie Brazier et Paul Bocuse y tiennent leur restaurant d'exception « La Mère Brazier » et « Paul Bocuse » à Lyon et à Collonges-au-Mont-d'Or près de Lyon à deux pas de la N7. Il faut alors franchir les monts du Lyonnais par le col du Pin-Bouchain pour atteindre Tarare, l'Arbresle, Lentilly, La Tour-de-Salvagny, où aboutit l'autoroute A89, et enfin Lyon (à Lyon, les RN 6 et RN 7 se retrouvent en se frôlant place Valmy devant la mairie du 9e arrondissement de Lyon. L'ancien tracé (D 407), depuis la place Pierre-Vauboin (ou place de l'Horloge) à Tassin-la-Demi-Lune, suivait, dans Lyon, l'actuelle avenue Barthélemy-Buyer jusqu'au quartier de Saint-Just et descendait sur le quartier de Perrache par la montée de Choulans. Le tracé traverse alors le pont Kitchener pour rejoindre la D307 par Venissieux puis Feyzin avant de poursuivre plus au sud.
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Re: Route Nationale 7
La capitale des Gaules se situant à Lugdunum (Lyon), elle devient le point de départ de toutes les voies établies par le gendre d'Auguste, Marcus Vipsanius Agrippa en 20 av. J.-C. Ce maillage au départ de Lyon restera dans l'histoire sous le nom d'étoile d'Agrippa. De là partent les routes vers Lutèce (Paris), selon approximativement le tracé de l'actuelle N6, et vers Rome en longeant le Rhône, par Arausio (Orange), et le bord de la Méditerranée comme la nationale 7.
C'est au XVe siècle, avec la création de la poste royale par Louis XI qu'un réseau cohérent de routes de postes est mis en place. Les chemins de Paris à Lyon passent par Moulins (route du Bourbonnais) ou Dijon (route de Bourgogne). Le siècle suivant voit l'apparition des premiers transports réguliers de voyageurs et la plantation des ormes le long des voies pour les ombrager et les délimiter (le long des actuelles N6 et ex-N7).
C'est aussi à cette époque qu'est édité le Guide des chemins de France, de Charles Estienne (1552), l'ancêtre de tous les guides modernes.
Quand le Comté de Nice est intégré en 1793 à la République française pour former le département des Alpes-Maritimes, il n'y a pas d'ingénieur en charge des ponts et chaussées. Napoléon Ier qui y a fait ses premières armes décide de construire une route entre Nice et Menton continuée vers l'Italie, la route de la grande corniche. Joseph Hyacinthe Sigaud1 est nommé ingénieur en chef des ponts et chaussées du département des Alpes-Maritimes où il arrive le 23 décembre 1802 (2 nivôse de l'an XI), mais il quitte ce poste le 31 octobre 1805 (9 brumaire de l'an XIV) pour le poste d'ingénieur en chef des ponts et chaussées dans les Bouches-du-Rhône. Il est remplacé par son adjoint, Joseph Ladevèze (1765-1833). Les premiers travaux de terrassements de la route sont adjugés en 1803 à Charles Martinasso, de Nice, pour une estimation de 250 000 francs pour la réalisation de 15,7 km de route qui nécessitaient 64 000 m3 de déblais rocheux. Mais des difficultés ont amené à casser le marché et à la confier à Joseph Fiorina, de Nice. Le marché est soldé en 1806. Le même entrepreneur obtient en 1809 le marché de continuation de la route depuis la chapelle Sainte-Catherine à La Turbie jusqu'à Menton pour un montant de 128 000 francs pour Unité|13,5|km. Il poursuit les travaux en 1810 depuis Menton jusqu'au haut de Vintimille, soit 10,5 km pour 164 000 francs, puis en 1811 au-delà de Vintimmille2.
Image associée
471 × 470Les images peuvent être soumises à des droits d'auteur. En savoir plus
Nationale 7, Tourves par Robert Doisneau
L'autre difficulté de cette route était le pont permettant le franchissement du Var. Un pont avait été rapidement construit en 1792 par le génie militaire. Il mesurait 628 m de longueur et 4,90 m de largeur avec 109 travées de 5,46 m. Le pont est transféré du ministère de la Guerre au ministère de l'Intérieur en 1802. Il va donner plusieurs fois des signes de faiblesses. Une crue en 1802-1803 crée trois brèches. Il faut reconstruire 51 travées avec du mélèze. Une crue, en 1807, emporte quatre palées. En 1810, des bois flottés créent une nouvelle brèche. En avril 1812, la création d'une digue permet de diminuer la longueur à 335 m pour un projet de nouveau pont de 22 travées de 15 m de portée et 7 m de largeur. Les travaux sont attribués à Jean Faraud, architecte de la ville de Nice, en septembre. Quand, en 1814, le général sarde Caqueran d'Osasque entre dans le comté, les travaux de construction étaient interrompus faute d'argent. Le pont de 1792 est resté en service et constamment réparé. C'est avec la construction du viaduc sur le Var pour la ligne de chemin de fer de la compagnie PLM qu'un nouveau pont routier à tablier en fonte est construit entre 1861 et 1863. Le pont a été détruit lors d'un bombardement en 1944. Un nouveau pont routier en béton armé a été inauguré en 1950.
lien du texte original :https://fr.wikipedia.org/wiki/Route_nationale_7_(France_m%C3%A9tropolitaine)
C'est au XVe siècle, avec la création de la poste royale par Louis XI qu'un réseau cohérent de routes de postes est mis en place. Les chemins de Paris à Lyon passent par Moulins (route du Bourbonnais) ou Dijon (route de Bourgogne). Le siècle suivant voit l'apparition des premiers transports réguliers de voyageurs et la plantation des ormes le long des voies pour les ombrager et les délimiter (le long des actuelles N6 et ex-N7).
C'est aussi à cette époque qu'est édité le Guide des chemins de France, de Charles Estienne (1552), l'ancêtre de tous les guides modernes.
Quand le Comté de Nice est intégré en 1793 à la République française pour former le département des Alpes-Maritimes, il n'y a pas d'ingénieur en charge des ponts et chaussées. Napoléon Ier qui y a fait ses premières armes décide de construire une route entre Nice et Menton continuée vers l'Italie, la route de la grande corniche. Joseph Hyacinthe Sigaud1 est nommé ingénieur en chef des ponts et chaussées du département des Alpes-Maritimes où il arrive le 23 décembre 1802 (2 nivôse de l'an XI), mais il quitte ce poste le 31 octobre 1805 (9 brumaire de l'an XIV) pour le poste d'ingénieur en chef des ponts et chaussées dans les Bouches-du-Rhône. Il est remplacé par son adjoint, Joseph Ladevèze (1765-1833). Les premiers travaux de terrassements de la route sont adjugés en 1803 à Charles Martinasso, de Nice, pour une estimation de 250 000 francs pour la réalisation de 15,7 km de route qui nécessitaient 64 000 m3 de déblais rocheux. Mais des difficultés ont amené à casser le marché et à la confier à Joseph Fiorina, de Nice. Le marché est soldé en 1806. Le même entrepreneur obtient en 1809 le marché de continuation de la route depuis la chapelle Sainte-Catherine à La Turbie jusqu'à Menton pour un montant de 128 000 francs pour Unité|13,5|km. Il poursuit les travaux en 1810 depuis Menton jusqu'au haut de Vintimille, soit 10,5 km pour 164 000 francs, puis en 1811 au-delà de Vintimmille2.
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Nationale 7, Tourves par Robert Doisneau
L'autre difficulté de cette route était le pont permettant le franchissement du Var. Un pont avait été rapidement construit en 1792 par le génie militaire. Il mesurait 628 m de longueur et 4,90 m de largeur avec 109 travées de 5,46 m. Le pont est transféré du ministère de la Guerre au ministère de l'Intérieur en 1802. Il va donner plusieurs fois des signes de faiblesses. Une crue en 1802-1803 crée trois brèches. Il faut reconstruire 51 travées avec du mélèze. Une crue, en 1807, emporte quatre palées. En 1810, des bois flottés créent une nouvelle brèche. En avril 1812, la création d'une digue permet de diminuer la longueur à 335 m pour un projet de nouveau pont de 22 travées de 15 m de portée et 7 m de largeur. Les travaux sont attribués à Jean Faraud, architecte de la ville de Nice, en septembre. Quand, en 1814, le général sarde Caqueran d'Osasque entre dans le comté, les travaux de construction étaient interrompus faute d'argent. Le pont de 1792 est resté en service et constamment réparé. C'est avec la construction du viaduc sur le Var pour la ligne de chemin de fer de la compagnie PLM qu'un nouveau pont routier à tablier en fonte est construit entre 1861 et 1863. Le pont a été détruit lors d'un bombardement en 1944. Un nouveau pont routier en béton armé a été inauguré en 1950.
lien du texte original :https://fr.wikipedia.org/wiki/Route_nationale_7_(France_m%C3%A9tropolitaine)
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Re: Route Nationale 7
Groupe facebook: https://www.facebook.com/groups/nationale7/?ref=nf_target&fref=nf
station service sur la N7 historique au niveau du pont qui traverse la Loire entre Roanne et Le Coteau.
station total à la sortie du Coteau , a l' abandon depuis 50 ans
Le long de "La Route Bleue" ..... Balbigny(42)
station service sur la N7 historique au niveau du pont qui traverse la Loire entre Roanne et Le Coteau.
station total à la sortie du Coteau , a l' abandon depuis 50 ans
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Cinéma Eden - Cosne-Cours-sur-Loire
Voici le plus beau cinéma sur les rivages de la N7, qui regarde le Nohain au centre de Cosne-Cours-sur-Loire. Construit en 1900, l’Eden abrite d’abord une salle municipale avant de se muer en cinéma, dès 1915. Mais c’est bien en 1938 que sa spectaculaire façade art-déco et son enseigne en émaux de Briare sont érigées. À l’intérieur, 500 spectateurs peuvent alors y prendre place. En 1988, la municipalité acquiert l’édifice et le restaure, jusqu’à sa réouverture en 1994. Le nouveau cinéma Éden peut désormais contenir 276 personnes alors qu’une deuxième salle en accueille une centaine. Inscrit aux Monuments historiques, il est parrainé par Catherine Deneuve.
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Pouilly-sur-Loire Relais des 200 Bornes
C’est l’étape incontournable des amoureux de la N7. Cette ancienne station-service Shell du début du siècle s’était muée à la fin de la Seconde Guerre mondiale en relais routier, à 200 bornes exactement de Paris. Véritable musée à ciel ouvert, le Relais expose des pompes à essence vintage et vieilles publicités au bord de la Nationale 7, au bout d’une spectaculaire allée de platanes à la sortie de Pouilly-sur-Loire.
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Mesves-sur-Loire Carrefour aux 3 plaques historiques
Après l’église, une concentration très rare de 3 plaques historiques d’indication routière. À gauche, une plaque de cocher et une plaque Michelin se superposent sur le même bâtiment. À droite, une deuxième plaque Michelin indique la N7 et les directions de Cosne (à 20 km) et de La Charité (à 8 km). Pas de doute, voilà un carrefour d’importance, à l’époque du moins…, presque désert aujourd’hui.
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Saint-Loup Hôtel-Restaurant Relais de la Route Bleue (1962)
Cet ancien relais de poste se mue en petit restaurant avec station-essence lorsque les premières automobiles remplacent les diligences. Au tournant des années 1960, l’hôtel-restaurant actuel est érigé, recyclant l’ancienne station-service en snack-sandwicherie. Le relais compte aujourd’hui parmi les haltes mythiques de la N7. On ne sait dire ce qu’on y aime le plus ; l’ambiance surannée, la gentillesse de l’accueil ou les portions généreuses. Les 20 chambres (dès 67 €) sont simples, propres et confortables.
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Lapalisse Brocante “Les Puces Lapalissoises”
Les pieds sur la N7, à l’abri d’un ancien garage spectaculaire, cette brocante hétéroclite fait dépôt-vente et débarras de maison. Autant dire qu’on y trouve de tout… et plus encore. Du volumineux, de la babiole, du cher, du bon marché, du très vieux et du plus récent. Meubles, objets d’art, bibelots, verreries, livres… 650 m2 pour remonter le temps.
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Mormant-sur-Vernisson Le Relais du Miel – Restaurant, épicerie fine et hôtel (1965)
Plus de cinquante après son ouverture, il se dresse toujours sur les rives de la N7, le mythique Relais du Miel, devenu une institution des transhumances estivales. C’est donc tout naturellement que l’une de ses 3 salles rend hommage à la nationale, affichant dans une ambiance rétro de gigantesques bornes blanches et rouges et d’anciennes plaques publicitaires. Récemment, un hôtel 3 étoiles de 53 chambres y a été ouvert, entièrement dédié à la Nationale 7. Chaque unité porte le nom d’une étape de la nationale et arbore une photographie géante de la N7 en tête de lit.
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Le Coteau Station Total en ruines
Au croisement de la N7 (Avenue de la Libération) et du Chemin des Côtes, notre Nationale 7 prend des airs de Route 66, longeant une gigantesque station-service en ruines, envahie par la végétation. Cachée derrière sa gigantesque flèche OZO, elle fut rachetée par Total au début des années 1960 et demeure ainsi, fantomatique et abandonnée, depuis près de 40 ans.
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Saint-Étienne L’Alhambra, ancien cinéma Gaumont (1907)
Regardant la Place Jean-Jaurès, l’ancien cinéma Gaumont est la perle art-déco stéphanoise. Salle de 2000 places à son ouverture, elle se dote de sa façade emblématique en 1931, agençant richement l’intérieur d’un balcon, 1311 place confortables et appareil de projection perfectionné à l’acoustique parfaite. En 2000, le cinéma est rénové pour devenir un multiplex de 10 salles.
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Andance Pont suspendu (1827)
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Valence Ancienne station Azur (1937)
Nous venons de franchir la frontière de la Drôme. C’est la haute flèche art-déco de l’ancienne station-service Azur qui nous accueille à Valence, “Porte de la Provence”. Elle prend des allures de paquebot sous ses formes arrondies qui, à l’ombre de l’auvent, se percent de hublots. Aux grandes heures de la N7, la station accueillait également un bar-restaurant et un hôtel.
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Loriol
Un parfum de mélancolie empreint toute la localité, flanquée de gigantesques peintures murales “Canard sauvage” aux couleurs pastellisées par les années. Montélimar et son nougat se rapprochent. Fresques décrépies, plaque de cocher agrippée aux murs, hôtels cois, cafés désertés. La N7 et ses fantômes…
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Montélimar
Montélimar, paradis du nougat, nous accueille avec son Palais des Bonbons. On produit 3000 tonnes par an de cette gourmandise de sucre, de miel, d’amandes et d’œufs, emblème national. Apprêté par les renommés “maîtres nougatiers”, il se loge dans une boîte en forme de borne de la Nationale 7. À la belle époque, alors que les embouteillages congestionnaient le centre, les marchands vendaient directement les friandises aux fenêtres des automobilistes immobilisés.
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Re: Route Nationale 7
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Bollène Restaurant routier Le Pénitencier
On ne loupe pas ce routier qui expose sur les rives de la N7 toute une scénographie US : vieille voiture aux couleurs de l’american flag, bécane plantée dans les pots de fleurs, motel streamline en face, shield Route 66 sur la façade. Rien de décevant dedans, on se croit dans un bon film des sixties en plein désert californien. Menu à 14€
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Piolenc Musée de la Nationale 7
Passez la porte de ce musée entièrement consacré à la RN7 et remontez le temps. Vieilles voitures, affiches et journaux d’époque, plaques émaillées vieilles bornes, pompes à essence d’un autre temps tandis qu’en toile de fond, un documentaire raconte la Nationale d’autrefois, ses bouchons interminables, ses commerces ardents, son quotidien électrique dès que les grandes vacances s’élançaient vers le sud.
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“Bistrot d’Orange”
Orange la romaine se dresse à l’ombre de son Arc romain, majestueuse porte d’entrée de la ville depuis 35 av. J.-C. Derrière lui, toute la douceur du Vaucluse se prélasse sur la place centrale et ses nombreuses terrasses, appuyée au Théâtre antique datant lui aussi du début de l’ère chrétienne. Les vestiges de la N7 y sont rares, à l’exception de ce spectaculaire “Bistrot d’Orange” aux lignes art-déco spectaculaires, à la sortie de la ville.
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Sénas Notre Dame du Bon Voyage
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la station Total de Célony
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