Johnny Otis – Telephone Baby.
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Johnny Otis – Telephone Baby.
Johnny Otis est l’une des personnalités les plus marquante du passage du rhythm and blues joué par les big band des 40’s au rock n’roll des 50’s. En résumé l’un des artistes blanc incontournable de la musique noire. Otis est l’enfant d’immigré grec installé à West Bekerley (Californie) tout prés de San Fransisco . Jeune il apprend à jouer de la batterie, du piano et du vibraphone. A vingt ans sn intèrêt pour la musqiue décroit encore lorsqu’il voit Joe Jones le batteur de count Basie en action lors d’un concert. Il se met ensuite encore plus sérieusement à la batterie.
C’est en 1939, qu’il débute professionnellement comme batteur des West Oakland House Rockers, avec qui il tourne dans tout le pays. En 1941 il rejoint le groupe de Harlan Leonard et Count Price Otis Mathews avec qui il se produit dans les casinos de Las Vegas. En 1943 il forme The Otis-Love Band avec Preston Love avec qui il se produit dans un Barrelhouse club in Omaha (Nebraska). C’est au commande de son propre orchestre que fin 1943 il se produit au Club Alabam de Los Angeles.
En Octobre 1946 lui et son groupe deviennent le groupe d’accompagnement de The Ink Spots pendant leur tournée mondiale. Il réalise quelques enregistrements pour Excelsior records dont on peut citer le classique Harlem Nocturne et part en tournée avec son orchestre, mais devant le déclin des big bands, Otis forme alors un combo avec deux saxophones, une trompette, un trombone et lui même au vibraphone.
En 1948 il ouvre son propre Barrelhouse Club qui lui permet de découvrir des nouveaux talents qui marqueront l’histoire du rhythm and blues comme the Robins, Mel Walker, Big Jay McNeely et Little Ester. En 1950, après des négociations avec Savoy records, il produit 3 titres qui deviennent 3 tubes de l’année Cupid’s boogie par Little Ester, Mistrustin’ blues par The Robins et Double Crossing blues par lui-même (titre qui sera aussi interprété par Little Ester et The Robins).
Il part pour King records, il devient non seulement le compositeur de tubes mais aussi de découvreur de talent pour le label. Il découvre comme cela Willie Mae Thornton, Jackie Wilson, Little Willie John et Hank Ballard. C’est durant cette pèriode qu’il traverse le pays avec sa célèbre The Johnny Otis Rhythm and Blues Caravan (dans laquelle on retrouve son orchestre et lui même mais également les chanteuses Big Mama Thornton, Little Ester et Marie Adams, le groupe vocal The Robins et le chanteur Mel Walker). Otis enregistre alors sous son propre nom pour les labels Mercury et Peacock. Il produit et accompagne avec son groupe des artistes comme Little Richard,Willie Mae Thorton et Johnny Ace lors de sessions pour les label Peacock/Duke. Il écrit deux chef d’œuvre du rhythm and blues voir du rock n’roll The Wallflower (aka Dance with me Henry) qui sera un énorme succés pour Etta James en 1955 et Hound Dog (ou il est co-auteur avec Leiber et Stroller) qui sera un succès pour Big Mama Thornton et Elvis Presley dont il produit la session en 1953. Il produit en 1955 Pledging my love pour Johnny Ace (qui est un des titres majeurs de 1955) et fonde son propre Dig records. Toujours en 1955 il travaille aussi comme Deejay pour KFOX une radio de Los Angeles ce qui lui permet de faire parallèlement la promotion d’artistes qu’il aime. Entre 1957 et 1959 il enregistre pour Capitol records, les sont les années les plus rock n’roll d’artistes durant lesquelles il mettra en boite des chefs d’œuvres du genre comme Telephone baby et Willie and the Handjive (au rythme inspiré par Bo Diddley avec lequel il obtient son plus gros tube personnel en 1958 qui monte à la 9 eme place des Pop Charts et qu’il interprette pour le film Juke Box Rhythm). En 1959 il écrit le tube des Fiestas So fine, en 1961 celui des Pips Everyday of may heart.
Au début des 1960’s il enregistre pour King records, et laisse la musique au milieu de la décennie pour la politique devenant manager du staff de campagne pour le congrés du démocrate Mervin Dymally. En 1968, il publie son autobiographie Listen to the lambs.
C’est Frank Zappa qui arrive à faire revenir Otis en studio pour l’album Cold shot pour Kent records dans lequel son fils Shuggie tient la guitare. Devant le succés rencontré par le disque il est signé par Epic Records pour qui il enregistre l’album Cuttin’ Up.
En 1970 il remonte pour le Festival de Blues de Monterey une nouvelle revue dans laquelle on retrouve quelques légendes du rhythm and blues comme Joe Turner, Roy Brown et Little Esther. Ils tounent l’année suivante dans tout le pays et même en Grande Bretagne.
En 1974 il fonde le label Spectrum, sur lequel enregistre des artistes comme Joe Turner, Pee Wee Crayton, Joe Liggins et Charles Brown.
En 1981, il enregistre pour Alligator records un nouvel album The new Otis show qui lui permet de repartir en tournée avec sa nouvelle revue. En 1984 il se produit au festival de Monterey et au début des 1990’s il part pour Sebastopol (Californie) ou il ouvre The Johnny Otis Market dans lequel se produise de nombreux artistes de rhythm and blues et dont certains lives sont retransmis sur la radio KPFA (de Berkeley).
En 1994 il est introduit au Rock n’roll hall of fame pour son travail de compositeur et de producteur.
C’est en 1939, qu’il débute professionnellement comme batteur des West Oakland House Rockers, avec qui il tourne dans tout le pays. En 1941 il rejoint le groupe de Harlan Leonard et Count Price Otis Mathews avec qui il se produit dans les casinos de Las Vegas. En 1943 il forme The Otis-Love Band avec Preston Love avec qui il se produit dans un Barrelhouse club in Omaha (Nebraska). C’est au commande de son propre orchestre que fin 1943 il se produit au Club Alabam de Los Angeles.
En Octobre 1946 lui et son groupe deviennent le groupe d’accompagnement de The Ink Spots pendant leur tournée mondiale. Il réalise quelques enregistrements pour Excelsior records dont on peut citer le classique Harlem Nocturne et part en tournée avec son orchestre, mais devant le déclin des big bands, Otis forme alors un combo avec deux saxophones, une trompette, un trombone et lui même au vibraphone.
En 1948 il ouvre son propre Barrelhouse Club qui lui permet de découvrir des nouveaux talents qui marqueront l’histoire du rhythm and blues comme the Robins, Mel Walker, Big Jay McNeely et Little Ester. En 1950, après des négociations avec Savoy records, il produit 3 titres qui deviennent 3 tubes de l’année Cupid’s boogie par Little Ester, Mistrustin’ blues par The Robins et Double Crossing blues par lui-même (titre qui sera aussi interprété par Little Ester et The Robins).
Il part pour King records, il devient non seulement le compositeur de tubes mais aussi de découvreur de talent pour le label. Il découvre comme cela Willie Mae Thornton, Jackie Wilson, Little Willie John et Hank Ballard. C’est durant cette pèriode qu’il traverse le pays avec sa célèbre The Johnny Otis Rhythm and Blues Caravan (dans laquelle on retrouve son orchestre et lui même mais également les chanteuses Big Mama Thornton, Little Ester et Marie Adams, le groupe vocal The Robins et le chanteur Mel Walker). Otis enregistre alors sous son propre nom pour les labels Mercury et Peacock. Il produit et accompagne avec son groupe des artistes comme Little Richard,Willie Mae Thorton et Johnny Ace lors de sessions pour les label Peacock/Duke. Il écrit deux chef d’œuvre du rhythm and blues voir du rock n’roll The Wallflower (aka Dance with me Henry) qui sera un énorme succés pour Etta James en 1955 et Hound Dog (ou il est co-auteur avec Leiber et Stroller) qui sera un succès pour Big Mama Thornton et Elvis Presley dont il produit la session en 1953. Il produit en 1955 Pledging my love pour Johnny Ace (qui est un des titres majeurs de 1955) et fonde son propre Dig records. Toujours en 1955 il travaille aussi comme Deejay pour KFOX une radio de Los Angeles ce qui lui permet de faire parallèlement la promotion d’artistes qu’il aime. Entre 1957 et 1959 il enregistre pour Capitol records, les sont les années les plus rock n’roll d’artistes durant lesquelles il mettra en boite des chefs d’œuvres du genre comme Telephone baby et Willie and the Handjive (au rythme inspiré par Bo Diddley avec lequel il obtient son plus gros tube personnel en 1958 qui monte à la 9 eme place des Pop Charts et qu’il interprette pour le film Juke Box Rhythm). En 1959 il écrit le tube des Fiestas So fine, en 1961 celui des Pips Everyday of may heart.
Au début des 1960’s il enregistre pour King records, et laisse la musique au milieu de la décennie pour la politique devenant manager du staff de campagne pour le congrés du démocrate Mervin Dymally. En 1968, il publie son autobiographie Listen to the lambs.
C’est Frank Zappa qui arrive à faire revenir Otis en studio pour l’album Cold shot pour Kent records dans lequel son fils Shuggie tient la guitare. Devant le succés rencontré par le disque il est signé par Epic Records pour qui il enregistre l’album Cuttin’ Up.
En 1970 il remonte pour le Festival de Blues de Monterey une nouvelle revue dans laquelle on retrouve quelques légendes du rhythm and blues comme Joe Turner, Roy Brown et Little Esther. Ils tounent l’année suivante dans tout le pays et même en Grande Bretagne.
En 1974 il fonde le label Spectrum, sur lequel enregistre des artistes comme Joe Turner, Pee Wee Crayton, Joe Liggins et Charles Brown.
En 1981, il enregistre pour Alligator records un nouvel album The new Otis show qui lui permet de repartir en tournée avec sa nouvelle revue. En 1984 il se produit au festival de Monterey et au début des 1990’s il part pour Sebastopol (Californie) ou il ouvre The Johnny Otis Market dans lequel se produise de nombreux artistes de rhythm and blues et dont certains lives sont retransmis sur la radio KPFA (de Berkeley).
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